English (Français en bas)
Samir Kennedy is a British-Algerian dance, performance and sound artist based between London and Marseille. He is broke and he is a joke.
He discovered performance through a choir concert at primary school, when a voice came out of his mouth that seemingly wasn’t his own. He quickly moved on to musical theatre, eventually finding contemporary dance where he finished his studies at Laban, UK in 2013.
Since then he has worked across the fields of dance, performance and sound, performing and making work internationally for both high profile and underground spaces.
He has collaborated most notably with Simon Vincenzi, Florence Peake, Colette Sadler, Lucy McCormick, Alex Baczynski-Jenkins, Charles Linehan, Joe Moran, Theo Clinkard and Pablo Bronstein performing these works in theatres and galleries.
He has shown his work at Arts Admin (UK), Southbank Centre (UK), CCA Glasgow, The Place Theatre (UK), METAL (UK), Centre For Live Art Yorkshire (UK), Humber Street Gallery (UK), SPILL Festival (UK), ]Performance S P A C E[ (UK) , Quarterhouse Folkestone (UK), Queertopia Festivalen (SE), Sophiensaele (DE), Vidéodrome (FR) and ICI-CCN Montpellier (FR) among others.
As a sound artist he has collaborated with Florence Peake, Liam Warren, Sam Williams, Leah Marojevic, Colette Sadler, Present Futures Festival, Theo Clinkard and Olive Hardy to create scores for both live performance and film.
He makes interdisciplinary works across video, sound, choreography and performance which centre the body as a site from which to perform notions of class, race, otherness, queerness and abjection through the use of archetypal figures (such as the devil, the zombie, the clown) as vehicles from the collective consciousness which drive complex readings.
He uses aestheticised sociological markers as a way to discuss intersectional identities whilst also seeking to undermine those aesthetics, to offer new realities and possibilities for queer existentialism to thrive through fictionalisation and the creation of speculative scenarios.
He recently graduated from the Master EXERCE programme at the Centre Choréographique National in Montpellier.
Français
Samir Kennedy est un artiste britannico-algérien de danse, de performance et de son, basé entre Londres et Marseille.
Il a découvert la performance lors d'un concert de chorale à l'école primaire, lorsqu'une voix est sortie de sa bouche qui semblait ne pas être la sienne. Il est rapidement passé à la comédie musicale, trouvant finalement la danse contemporaine où il a terminé ses études à Laban, au Royaume-Uni, en 2013. Depuis lors, il a travaillé dans les domaines de la danse, de la performance et du son, se produisant et créant des œuvres à l'échelle internationale pour des espaces à la fois renommés et underground.
Il a notamment collaboré avec Simon Vincenzi, Florence Peake, Colette Sadler, Lucy McCormick, Alex Baczynski-Jenkins, Charles Linehan, Joe Moran, Theo Clinkard et Pablo Bronstein, interprétant ces œuvres dans des théâtres et des galeries.
Il a présenté son travail à Arts Admin (Royaume-Uni), Southbank Centre (Royaume-Uni), CCA Glasgow, The Place Theatre (Royaume-Uni), METAL (Royaume-Uni), Centre For Live Art Yorkshire (Royaume-Uni), Humber Street Gallery (Royaume-Uni), SPILL Festival (Royaume-Uni), Performance S P A C E (Royaume-Uni), Quarterhouse Folkestone (Royaume-Uni), Queertopia Festivalen (SE), Sophiensaele (DE), Vidéodrome (FR) et ICI-CCN Montpellier (FR), entre autres.
En tant qu'artiste sonore, il a collaboré avec Florence Peake, Liam Warren, Sam Williams, Leah Marojevic, Colette Sadler, Present Futures Festival, Theo Clinkard et Olive Hardy pour créer des partitions musicales pour des performances en direct et des films.
Il crée des œuvres interdisciplinaires mêlant vidéo, son, chorégraphie et performance, mettant en avant le corps comme un lieu à partir duquel interpréter les notions de classe, de race, d'altérité, de queerness et d'abjection en utilisant des figures archétypales (comme le diable, le zombie, le clown) comme véhicules de la conscience collective qui suscitent des lectures complexes.
Il utilise des marqueurs sociologiques esthétisés comme moyen de discuter des identités intersectionnelles tout en cherchant à miner ces esthétiques pour offrir de nouvelles réalités et possibilités pour l'existentialisme queer à prospérer grâce à la fictionnalisation et à la création de scénarios spéculatifs.
Il a récemment obtenu son diplôme du programme Master EXERCE au Centre Chorégraphique National de Montpellier.